Après que Marine Le Pen a appelé ses soutiens à manifester dimanche 6 avril, le secrétaire général de Renaissance a transformé son meeting de « refondation » en confrontation. Une manière pour l’ancien premier ministre d’insuffler un parfum de campagne électorale et de « tordre le cou » à l’idée que le parti est moribond.Le secrétaire général de Renaissance, Gabriel Attal (au centre), entouré du président du Sénat, Gérard Larcher, de la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, et de l’ancien garde des sceaux, Eric Dupond-Moretti, à Versailles (Yvelines), le 4 mars 2024.
Gabriel Attal veut faire du congrès de Renaissance une « démonstration de force » face à l’extrême droite
Scritto il 04/04/2025
da